Chronologie janvier 1934
Dimanche 7 janvier 1934
Affaire Stavisky
Après Gustave Tissier, le 23 décembre 1933, Dominique-Joseph Garat, maire de Bayonne, est à son tour arrêté par la police. Tous deux sont accusés de mise en circulation de faux bons au porteur. En somme, de détournement d’argent. Rapidement, l’enquête désigne un certain Alexandre Stavisky comme principal cerveau de l’affaire. Célèbre escroc russe, naturalisé Français en 1900, 24 plaintes avaient déjà été déposées contre lui par le passé, mais avait été relaxé à 19 reprises.
Lundi 8 janvier 1934
Alexandre Stavisky est retrouvé mort
Dans cette période de grave crise économique et politique, dans laquelle les institutions françaises sont plus régulièrement remises en cause, la presse s’empare de l’affaire Stavisky, qui vire au scandale d’État, lorsque l’enquête inquiète plusieurs hommes politiques hauts placés. Elle rejette ainsi la thèse du suicide de Stavisky, avancée par la police. Le Canard enchaîné écrit : “Stavisky s’est suicidé d’une balle à trois mètres”. Une mort qui évite certainement d’autres révélations possibles.
Mardi 9 janvier 1934
Albert Dalimier démissionne
Mis en cause dans l’affaire Stavisky, le ministre des Colonies, Albert Dalimier, démissionne. En réalité, l’enquête menée par la police permet de démontrer la présence de nombreuses autres personnalités issues de la presse, de la politique, de la justice et même de la police, en relation avec l’escroc. Ainsi, tout comme le ministre Dalimier, le député Gaston Bonnaure, le sénateur René Renoult sont également inquiétés. La grogne monte, et elle est de plus en plus entretenue par l’extrême droite.
Jeudi 11 janvier 1934
Le Parlement refuse la commission d’enquête parlementaire
La thèse d’un enterrement de l’affaire Stavisky, prétexté par la presse de droite et d’extrême droite, est soudainement renforcée lorsque le Parlement vient lui-même de refuser la formation d’une commission d’enquête parlementaire. Alors que deux patrons de presse radicaux, proches de Stavisky, sont arrêtés, les premières manifestations antiparlementaires et violentes, orchestrées par les Camelots du roi, éclatent à Paris. La capitale est plongée dans une ambiance insurrectionnelle.
Vendredi 26 janvier 1934
Pacte de non-agression germano-polonais
Depuis son établissement, les clauses du traité de Versailles à propos de la Pologne sont vivement critiquées par les Allemands. Celles-ci portent principalement sur la région de la ville de Dantzig -allemande depuis le XIVe siècle -, déclarée “ville libre”. Pour permettre l’accès à la mer Baltique à la Pologne, un couloir est créé à l’ouest de la ville, séparant ainsi la province allemande de Prusse orientale de sa voisine de l’ouest, la Poméranie. De fait, l’Allemagne est coupée en deux.
Samedi 27 janvier 1934
Démission de Camille Chautemps
Accusé par la presse et ses adversaires politique de droite et d’extrême droite d’avoir ordonné l’assassinat d’Alexandre Stavisky, le président du Conseil est incapable de faire face à la pression de l’opinion publique. Principalement organisées par les Ligues d’extrême droite – mais pas seulement -, les manifestations violentes deviennent quotidiennes. Camille Chautemps présente sa démission au président de la République et entraîne de fait, la chute de son gouvernement.
Mardi 30 janvier 1934
Fondation du troisième Reich
La loi du 30 janvier, adoptée par le Reichstag, retire l’autonomie des Länder (différents états allemands) pour les placer directement sous l’autorité du gouvernement du Reich allemand. Modifiant la constitution de Weimar, la “fédération des Pays allemands” est remplacée par l’État centralisé de la Nation germanique”. Elle permet ainsi la fondation du Troisième Reich, dans un État devenu policier et dans lequel désormais, les droits fondamentaux ne sont plus garantis.
Mardi 30 janvier 1934
Daladier nommé président du Conseil
Après la démission de Camille Chautemps, le président de la République nomme une nouvelle fois Édouard Daladier au poste de Président du Conseil – titre qu’il obtient pour la seconde fois en l’espace d’une année. Celui-ci forme un nouveau gouvernement, qu’il souhaite d’union nationale. S’il s’engage à élucider l’affaire Stavisky, qui continue de déstabiliser le pays et l’ensemble de la classe politique, ce nouveau gouvernement est cependant une reconduction à peine déguisée du précédant.
Chronologie Février 1934
Février 1934
Parution de Mein Kampf en français
Fernand Sorlot, éditeur français admirateur du fascisme, proche des milieux nationalistes mais considérant le nazisme comme une menace réelle et sérieuse, fait paraitre Mein Kampf afin que les Français puissent mesurer le danger que représente l’idéologie national-socialiste. Dans cette démarche, il est aidé par la Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme (LICA) qui précommande 5 000 des 8 000 exemplaires du premier tirage.
Mardi 6 février 1934
émeute du 6 février 1934
Après que Daladier ait renvoyé Jean Chiappe, préfet de police de Paris soutenu par l’extrême droite, une grande manifestation est organisée par les principales ligues d’extrême droite telles que les royalistes d’Action française, Croix-de-feu, Solidarité française… Elles sont cependant rejointes par d’autres associations, dont certaines sont bien républicaines. La situation dégénère, la police ouvre le feu : 17 morts et plus de 2000 blessés. La République vacille.
Mercredi 7 février 1934
Édouard Daladier démissionne
Au lendemain des tragiques émeutes, et alors que de nouvelles manifestations sont organisées ce même jour, Édouard Daladier présente sa démission, huit jours seulement après sa nomination et ce malgré un vote de confiance lui ayant été favorable la veille. Pour la première fois, un gouvernement démissionne ouvertement sous la pression de la rue.
Mercredi 7 février 1934
Création du Parti national-communiste
Pierre Clémenti, propriétaire du journal Le Pays libre et ancien militant du parti radical-socialiste, lance le Parti français national-communiste. Celui-ci appelle notamment à la destruction du capitalisme et du parlementarisme, tout en mettant en avant une “dictature de la collectivité nationale”, comprenant “le peuple et sa hiérarchie, le territoire et son équipement, la tradition et la langue”.
Vendredi 9 février 1934
Gaston Doumergue nommé Président du conseil
Ancien Président de la République, élu dix ans plus tôt, en 1924, Gaston Doumergue est nommé à la tête du Conseil et remporte un large vote de confiance. Si sa nomination permet de rapidement calmer les esprits, il promet d’élucider l’affaire Stavisky, dont l’enquête commence cependant à piétiner, mais aussi et surtout de réformer les institutions de l’État.
Vendredi 9 février 1934
Manifestation antifascite à Paris
Considérant les événements du 6 février comme la preuve formelle d’un danger fasciste grandissant, une manifestation d’ampleur est organisée par les communistes sur la place de la République, à Paris. Le 12 février suivant, les communistes participeront également à un rassemblement de toute la gauche française “pour la défense des libertés, contre le péril fasciste”.
Lundi 12 février 1934
La guerre civile éclate en Autriche
Jusqu’au 16 février, dans un pays fortement touché par le chômage et l’inflation, de nombreux affrontements éclatent entre socialistes et conservateurs-fascistes. Prenant position, l’armée autrichienne bombarde les positions des combattants socialistes, désormais en déroute. En quatre jours, près de 7 000 personnes sont tuées et l’Autriche voit naitre l’instauration de l’austrofascisme. Inquiet pour l’indépendance de l’Autriche, Mussolini envoie ses troupes à la frontière autrichienne.
Mercredi 14 février 1934
Abolition du Reichsrat
Organe constitutionnel du Reich allemand, le Reichsrat permettait d’assurer la représentation des Länder ainsi que leur participation aux affaires législatives du Reich. Cependant, après la loi du 30 janvier 1934, retirant l’autonomie des Länder et les plaçant directement sous l’autorité du Reich allemand, le Reichsrat, qui n’a finalement plus lieu d’être, est aboli par le désormais régime nazi.
Chronologie Mars 1934
Samedi 24 mars 1934
Citroën présente sa Traction
Conçue par l’ingénieur André Lefebvre, ce nouveau véhicule devient la voiture officielle de la présidence de la République et se confirme rapidement comme un succès industriel français. Plébiscité pour sa traction avant mais aussi pour son confort et sa tenue de route, elle sera produite jusqu’en 1957, avec plus de 700 000 unités sorties d’usine.
Chronologie Avril 1934
Vendredi 20 avril 1934
Himmler prend la tête de la Gestapo
Fidèle allié de Hitler depuis le début des années 1920, Heinrich Himmler, chef de la Schutzstaffel (SS), prend la tête de la Gestapo : la police secrète du Troisième Reich. Fondée en Prusse par Hermann Göring, elle est chargée de lutter contre les opposants, réels ou supposés, du régime nazi. Dès sa nomination, Himmler étend son rayon d’action à travers toute l’Allemagne, renforçant toujours plus la répression et la notion d’État policier.
Chronologie Mai 1934
Lundi 7 mai 1934
Création du Front national
Sous la parrainage du maréchal Lyautey, mais à l’initiative de Pierre Taittinger, le Front national voit le jour, à Paris. Structure de type confédérale, elle a pour objectif de faire front au projet de construction du bloc de gauche, réunissant radicaux, socialistes et communistes (qui deviendra Front populaire en 1936). Cependant, seuls deux mouvements nationalistes feront le choix d’y adhérer, actant déjà ainsi de son échec.
Mardi 15 mai 1934
Plan Marquet
Présenté par le Ministre du travail Adrien Marquet, ce plan prévoit un vaste programme de grands travaux de construction et de développement de l’industrie française afin de lutter contre le chômage qui frappe le pays. Avec une enveloppe de 10,5 milliards de franc sur les 5 prochaines années, le gouvernement espère notamment relancer les travaux publics. Le plan Marquet sera approuvé par l’Assemblée nationale le 5 juillet suivant.
Chronologie Juin 1934
Jeudi 7 juin 1934
La BUF discréditée
A Londres, dans la salle de l’Olympia, un grand meeting des Chemises noires britanniques est organisé par le leader de la British Union of Fascists ; Mosley. Mais la situation dégénère après l’irruption de militants antifascistes. De nombreuses bagarres éclatent, faisant plusieurs blessés. Si jusqu’à présent la BUF était tolérée par la presse anglaise, celle-ci perd toute crédibilité, d’autant plus que les prises de parole de Mosley sont désormais marquées par un antisémitisme à peine caché.
Jeudi 14 juin 1934
Première rencontre entre Adolf Hitler et Benito Mussolini
Proche des Occidentaux, l’Italie est aussi un allié de taille de l’Autriche. Hitler le sait et avant d’envisager une quelconque attaque contre cette dernière, il rencontre Mussolini dans l’idée de la sonder quant à sa possible réaction. Mais le Duce n’accorde aucune confiance au Chancelier allemand. Pire, il s’empresse de prévenir la France et le Royaume-Uni du danger qu’il représente pour la paix en Europe. Convaincu que l’Italie ne laissera pas faire, cette rencontre est un échec pour Hitler.
Dimanche 17 juin 1934
Von Papen dénonce l’attitude des SA
Franz von Papen, vice-chancelier catholique du IIIe Reich et proche du Président Hindenburg, dénonce lors d’un discours à Marbourg, l’imminence d’une “seconde révolution”, ainsi que la “confusion entre brutalité et virilité”. En réalité et par ces mots, il vise essentiellement les SA, dont le comportement commence à inquiéter les milieux militaires et conservateurs, alors même que Hitler tente de les séduire.
Vendredi 22 juin 1934
Création des Chemises vertes
Défenseur du monde rural et ancien cadre de l’Action française à Lille, Henri Dorgerès fonde le Front paysan. Regroupant plusieurs associations, il rassemblera bientôt plusieurs milliers d’adhérents, surnommés les “Chemises vertes”. Reconnu pour ses talents d’orateur, Henri Dorgerès appelle régulièrement à une “dictature paysanne”, tout en tenant des discours antiparlementaires, parfois teinté d’antisémitisme.
Samedi 30 juin 1934
La nuit des longs couteaux
Si la SA a été précieuse à Hitler dans sa quête du pouvoir, elle lui devient désormais encombrante. Dans la perspective de succéder au président Hindenburg, Hitler à besoin du soutien des conservateurs et de l’armée. Or, cette dernière ne peut s’entendre avec la SA. Organisation comptant près de 4,5 millions d’hommes, elle est dirigée par son fondateur Ernst Röhm, dont le grand pouvoir dérange. Sur ordre d’Hitler, il est arrêté et ses principaux fidèles assassinés par la SS, dans la nuit du 30 juin.
→ Qu’est-ce que la Nuit des longs couteaux ?
Chronologie Juillet 1934
Dimanche 1er juillet 1934
Ernst Röhm est exécuté
Arrêté dans la nuit du 30 juin, Röhm est enfermé à la prison de Stadelheim de Munich. Entretenant avec lui de réelles relations amicales, Hitler hésite quant au sort qui doit être réservé à l’homme qui a rendu tant de services au parti nazi. Mais sous la pression de Göring, Himmler et Heydrich, il est finalement ajouté à la liste des personnes à liquider. Officiellement, Ernst Röhm a été exécuté pour homosexualité.
Lundi 9 juillet 1934
Himmler accède au rang de Reichsleiter
Après la “Nuit des longs couteaux” ; nuit au cours de laquelle des centaines d’adversaires ou opposants du parti nazi furent tués, Heinrich Himmler accède au rang de Reichsleiter du NSDAP, le grade le plus élevé au sein de l’organisation nazie. Après la nuit du 30 juin, Mussolini, lui-même choqué, avait déclaré que Hitler était à la tête d’un pays “d’assassins et de pédérastes”. Dans ce même temps, la SS devient un organisme à part, ne relevant que de la responsabilité de Hitler.
Mercredi 25 juillet 1934
Assassinat du chancelier autrichien Dollfuss
Aux alentours de midi, 154 membres des SS standarte – revêtus d’uniformes militaires autrichiens – font irruption dans la Chancellerie et assassinent Engelbert Dollfuss. Proche de Mussolini, il était l’un des premiers dirigeants à résister fermement au nazisme dans son propre pays. Commandité par Hitler, ce meurtre devait lui permettre de réaliser un coup d’État au sein de son pays natal. Cependant, les forces gouvernementales reprennent le contrôle de la situation.
Mercredi 25 juillet 1934
Mussolini dénonce l’absence de la France et du Royaume-Uni
Quelques jours après le putsch manqué en Autriche par les forces nazies, et en partie parce que Mussolini avait amassé ses troupes militaires à la frontière, prêt à intervenir, le Duce se présente face aux journalistes. Il dénonce l’absence de réaction de la France et du Royaume-Uni et prévient : “Adolf Hitler est une menace pour la paix”. Pour l’heure en Autriche, Kurt von Schuschnigg, nommé chancelier, est lui aussi hostile à Berlin et reste ainsi proche de l’Italie.
Chronologie Août 1934
Jeudi 2 août 1934
Mort de Paul Von Hindenburg
Le président Allemand, le maréchal Paul von Hindenburg, meurt à l’âge de 86 ans. S’il était celui qui avait porté Hitler au pouvoir, il en était aussi le dernier rempart. Le chancelier s’arroge ainsi de cette nouvelle fonction mais aussi celle de chef des forces armées, qui lui prêtent serment. Adolf Hitler concentre donc entre ses mains les pouvoirs exécutifs, législatifs et militaire.
Dimanche 19 août 1934
Hitler Fürher et Chancelier du Reich
Ce jour-là en Allemagne, un référendum est organisé pour la fusion en faveur de Hitler des fonctions de chancelier et de chef de l’État. Avec 89,93% des suffrages exprimés pour le “oui” (pour 95% des électeurs inscrits), ce jour marque officiellement de la fin de la République de Weimar. Il est cependant à noter que le terme de Reich n’avait jamais disparu depuis 1918.
Chronologie Septembre 1934
Jeudi 6 septembre 1934
Mussolini hostile à l’Allemagne nazie
Après avoir rencontré le chancelier autrichien la semaine précédente, Mussolini affirme son hostilité envers l’Allemagne nazie. Lors d’un discours prononcé ce jour, il déclare : “Nous pouvons regarder avec un mépris souverain certaines doctrines d’au-delà des Alpes prônées par des gens qui ignoraient l’écriture permettant d’écrire les documents de leur propre histoire à un moment où Rome avait César, Virgile et Auguste.”
Mardi 18 septembre 1934
L’URSS entre à la Société des Nations
L’Union Soviétique (URSS) devient un membre de la Société des Nations. Organisation créée en 1920 par les vainqueurs de la Première Guerre mondiale, elle a pour objectif et ambition de maintenir la paix mondiale et la coopération entre les peuples du monde. Habilitée à désigner et à sanctionner, elle ne dispose cependant pas de forces militaires, et ne peut compter que sur la bonne volonté des pays membres.
Chronologie Octobre 1934
Mardi 9 octobre 1934
Alexandre 1er de Yougoslavie est assassiné à Marseille
En visite officielle en France, le Roi Alexandre 1er de Yougoslavie est assassiné sur le port de Marseille par un Bulgare membre de l’Organisation révolutionnaire intérieure macédonienne. Au cours de cet attentat, Louis Barthou, ministre français des Affaires étrangères, est également tué. Il était l’un des rares à lutter contre la montée en puissance de Hitler et voulait former un front pour faire face aux régimes autoritaires d’Europe centrale et orientale.
Chronologie Novembre 1934
Jeudi 8 novembre 1934
Démission de Gaston Doumergue
Alors que la présidence de Gaston Doumergue se passait dans un calme bien relatif, les choses se compliquent lorsque ce dernier annonce en septembre dernier, son projet de réforme de l’Etat. Pris en contradiction à de multiples reprises, plusieurs radicaux quittent son gouvernement. Également affaiblit par la mort de Louis Barthou, l’ancien Président de la République démissionne. Il décédera en 1937.
Mardi 13 novembre 1934
Flandin président du conseil
Né à Paris en 1889, titulaire d’un doctorat en droit et diplômé de sciences politiques, Pierre-Etienne Flandin est nommé à la présidence du Conseil. Comme son prédécesseur, il forme un gouvernement de “trêve” et confie le portefeuille des Affaires étrangères à Pierre Laval. Cependant et rapidement, il doit déjà faire face à l’aggravation de la crise économique et internationale.
Chronologie Décembre 1934
Vendredi 21 décembre 1934
Liquidation judiciaire de Citroën
L’entreprise, engagée dans de nombreux et coûteux projets, ne supporte plus les pertes financières causées par la crise économique mais aussi par des échecs commerciaux. Ce jour-là, le Tribunal de Commerce de Paris se prononce pour une liquidation judiciaire de l’entreprise. Selon les juges, l’entreprise ne peut plus être sauvée et doit être démantelée pour combler ses dettes.
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