Plan interactif du camp Auschwitz II Birkenau
Le Canada Chambres à gaz et crématoires II et III La rampe de Birkenau Le camp des femmes La judenrampe La camp de quarantaine le camp des familles juives du ghetto de Theresienstadt Le camp des femmes juives de Hongrie Le camp BIId Le Mexique Le camp des Roms Le camp-hôpital Le camp de quarantaine Le Canada II Le camp B1b Le "sauna" du camp B1b Le camp B1a Le "sauna" du camp B1a Cuisines La rampe de Birkenau Crématoire II Le crématoire III Entrée et mirador principal Le crématoire IV Le crématoire V Système d'épuration des eaux Le Zentral Sauna Le lac des cendres Kommandantur Système d'épuration des eaux Magasin de vêtements Cuisines Magasin de vêtements Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Magasin de vêtements Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Latrines Cuisines Latrines Cuisines Cuisines Cuisines Cuisines Cuisines Cuisines Cuisines Cuisines Blockführerstube Blockführerstube Bunker I Système d'épuration des eaux Clôture de barbelés et miradors Bûchers Zone annexe Bunker II Bûchers Fosses communes Fosses communes Fosses communes Bûchers Fosses communes Bûchers Baraques en briques Les baraques en bois Les latrines Entrepôts de pommes de terre Le mirador principal et les barbelés

le camp des familles juives du ghetto de Theresienstadt

Auschwitz II Birkenau - Le camp des familles pour les juifs du ghetto de Theresienstadt

En septembre 1943, deux premiers convois transportant 5 000 Juifs du ghetto de Theresienstadt arrivèrent à Auschwitz et furent internés dans le camp B2b de Birkenau. En décembre suivant, des familles entière (les hommes avaient néanmoins été séparés des femmes et des enfants), de la même provenance, s’y installèrent après l’arrivée de deux nouveaux convois, élevant ainsi la capacité du camp à 9 000 détenus. (En savoir plus)

Le camp des femmes juives de Hongrie

Ouvert au cours du mois de mai 1944, le camp B2c de Birkenau servait de transit pour les femmes juives de Hongrie. Jusqu’en 1944, mois au cours duquel le camp fut liquidé, des milliers de détenues y attendaient d’être transférées vers d’autres camps de concentration allemands, sous la menace perpétuelle des sélections. Les déportées restantes furent quant à elles incorporées dans le camp de femmes.

Le camp BIId

Autre camp pour hommes, son fonctionnement débuta en juillet 1943, après le transfert de détenus du camp B1b. Il était exclusivement réservé aux internés jugés aptes au travail. L’effectif du camp B2d varia ainsi de 8 000 à 12 000 hommes, répartis dans 25 des quarante baraques en bois. Les autres servaient de cuisines, de sanitaires, de bureaux, d’ateliers, ou encore d’entrepôts pour nourritures ou matériels. Ces dernières étaient également présentes dans la plupart des autres camps.

Le Mexique

Camp Mexique de Birkenau

En construction à partir de l’année 1943 avec pour projet de créer 60 000 places supplémentaires, les travaux furent finalement abandonnés au printemps 1944. Néanmoins, dans ce camp inachevé, surnommé « Mexique », plusieurs femmes juives de Hongrie y ont été internées dans les pires conditions, le plus souvent sans toit au-dessus de la tête. Le secteur B3 fut liquidé en octobre 1944, et les quelques survivantes furent transférées dans le camp des femmes.

Le camp des Roms

Camp de Birkenau

En février 1943, 6 600 Roms – hommes, femmes et enfants – intégrèrent le camp B2e de Birkenau. Jusqu’au mois de mai suivant, de nombreuses arrivées de convois furent augmenter l’effectif du Zigeunerlager à plus de 14 000 internés. Au total, et selon les registres presque intégralement conservés, 21 000 Roms y ont été enregistrés, dont 378 bébés nés au sein même du camp. (En savoir plus)

La photographie a été prise depuis les ruines du crématoire III. Au second plan, entre les deux lignes de clôture de barbelés, se trouve le camp B2f (le camp-hôpital), dont il ne reste rien aujourd'hui. Derrière celui-ci se trouvent les vestiges du camp des Roms. Le gros bâtiment, situé au dernier plan de la photographie, est la Kommandantur de Birkenau.

Le camp-hôpital

Ouvert en juillet 1943, le camp B2f était le camp-hôpital de Birkenau. Les SS y internèrent les détenus malades au sein des différents services qu’il comportait : chirurgie, maladies internes, maladies cutanées et maladies infectieuses. Tout au long de son fonctionnement – jusqu’à l’évacuation du camp en 1945 – il accueillait en moyenne 1 500 à 2 000 malades qui se renouvellaient continuellement. (En savoir plus)

Le camp de quarantaine

Auschwitz II Birkenau - Camp de quarantaine pour hommes

Ouvert en août 1943, le camp B2a est l’un des trois camps pour hommes que comptait Birkenau. Composé de 19 baraques en bois, il avait pour fonction d’accueillir les détenus nouvellement entrés à Auschwitz et qui devaient respecter une mise en quarantaine de deux à trois semaines. (En savoir plus)

Le Canada II

Le camp B2g – Canada (Kanada) dans le jargon du camp – est un complexe d’entrepôts dans lesquels sont stockés les valeurs ayant appartenu aux victimes de l’extermination dans les chambres à gaz. En décembre 1943, trente baraques sont mises en service à proximité de la chambre à gaz et du crématoire IV, créant ainsi le « Canada II », après le « Canada I », créé en 1942 dans les environs proches d’Auschwitz I. (En savoir plus)

Le camp B1b

Le camp camp B1b, fut le premier camp construit à Birkenau. Plusieurs milliers de prisonniers de guerre soviétiques y trouvèrent la mort lors de sa construction, débutée en octobre 1941. Il était composé d’une trentaine de baraques, dont près de la moitié étaient en briques. Les autres étaient faites de bois : récupéré sur les maisons polonaises des villages environnants, dont les habitants avaient été expulsés. Ce type de construction se généralisera par le suite. Il est en effet beaucoup moins coûteux, et surtout plus rapide à élever. En juillet 1943, tous les hommes qui y étaient présents furent déplacés dans le nouveau camp B2d, laissant leur place aux femmes du camp B1a. Le secteur B1 de Birkenau devenait ainsi exclusivement réservé aux femmes. (En savoir plus)

Le "sauna" du camp B1b

Sauna du camp des femmes

Mis en service en mai 1942, le "sauna" du camp des femmes était un bâtiment qui comprenait des douches pour les détenues ainsi qu'une installation d'un circuit d'épouillage des vêtements au Zyklon B. Ce même bâtiment contenait également une salle dans laquelle les nouvelles arrivantes étaient tondues, tatouées et recevaient leurs tenues de déportée.

Le camp B1a

Le camp des femmes ; Frauenlager en allemand, fut créé à la mi-août 1942, après le transfert de détenues en provenance d’Auschwitz I. La majorité des baraques étaient occupées par des femmes employées dans des kommandos extérieurs, ou qui subissent la quarantaine d’entrée. Les effectifs du camp des femmes furent extrêmement variables ; au début, 13 000 femmes – en majorité juives – y étaient présentes avant de redescendre à 8 000 en décembre 1942. En avril 1943, plus de 18 000 femmes étaient internées dans le Frauenlager ; 27 000 en janvier 1944 ; 39 000 au cours du mois d’août suivant.

Le "sauna" du camp B1a

Le "sauna" est un bâtiment qui comprenait des douches pour les détenues ainsi qu'une installation d'un circuit d'épouillage des vêtements au Zyklon B. Ce même bâtiment contient également une salle dans laquelle les nouvelles arrivantes étaient tondues, tatouées et recevaient leurs tenues de déportée.

Cuisines

La rampe de Birkenau

La rampe de Birkenau

Entrée en service à partir de mai 1944, la rampe de Birkenau (Bahnrampe), située entre les secteurs B1 et B2, était le lieu où les déportés descendaient des trains. Jusqu'alors, ils arrivaient sur le Judenrampe, située à environ deux kilomètres de l'entrée du camp. C'est également à cet endroit que les médecins SS pratiquaient les sélections. La voie ferrée se divise en trois lignes. Elle est entourée de petits miradors en bois depuis lesquels les gardes SS surveillaient l'intérieur des différents camps de Birkenau.

Crématoire II

Ruines des chambres à gaz du camp d'Auschwitz-Birkenau

Officiellement mis en service le 31 mars 1943, le crématoire II de Birkenau fonctionna jusqu'en mai 1943. Son utilisation intensive avait engendrée de sérieux dégâts, nécessitant des réparations. Sa funeste activité repris alors au début du mois de septembre, jusqu'en novembre 1944. Le 20 janvier 1945, au moment de l'évacuation du camp, les SS dynamitèrent les crématoires II et III dans l'objectif de faire disparaître les traces de leurs crimes. Il ne reste aujourd'hui que les ruines de ces deux édifices.

Les crématoires II et III ont été conçus pour une véritable industrialisation du crime. Les déportés descendaient un escalier, menant à la salle de déshabillage, puis étaient dirigés dans la chambre à gaz pour y être gazés. Les corps des victimes étaient ensuite transportés par un monte-charge, du sous-sol jusqu'au rez-de-chaussée, où étaient installés les fours crématoires. Les cendres humaines étaient ensuite déversées dans l'étang situé juste à proximité.

A partir du mois de juin 1944, les membres du Sonderkommando, qui étaient chargés de l'extermination des victimes, avaient été logés dans les combles du bâtiment.

Le crématoire III

Le crématoire 3 de Birkenau

Officiellement mis en service le 25 juin 1943, le crématoire III de Birkenau fonctionna jusqu'en novembre 1944. Le 20 janvier 1945, au moment de l'évacuation du camp, les SS dynamitèrent les crématoires II et III dans l'objectif de faire disparaître les traces de leurs crimes. Il ne reste aujourd'hui que les ruines de ces deux édifices.

Le crématoire III était une réplique du crématoire II, avec néanmoins quelques légères différences.

Entrée et mirador principal

Entrée du camp Auschwitz 2 Birkenau

Entrée du camp de Birkenau, le mirador principal donne une vue d'ensemble sur tout le site du camp, de ses différents secteurs et même le Bunker I.

Le crématoire IV

Mis en service le 22 mars 1943, le crématoire IV de Birkenau était équipé d'un four comportant huit creusets incinérateurs. A elles seules, deux grandes chambres à gaz, ainsi que deux plus petites, représentaient une surface totale de 240 m².

Le 7 octobre 1944, le Sonderkommando se révolta, endommageant sérieusement le four qui fut finalement démonté, avant que le bâtiment ne soit à son tour démoli sur ordre des SS.

Le crématoire V

Mis en service le 5 avril 1943, le crématoire V de Birkenau était une réplique du crématoire IV. En septembre 1943, son activité s'arrêta avant de reprendre en mai 1944 pour l'extermination des Juifs de Hongrie. En novembre 1944, après l'arrêt des gazages à Birkenau, le crématoire V continua de fonctionner pour brûler les corps des détenus morts de faim, d'épuisement ou de maladie. Il fut ensuite modifié pour loger le Sonderkommando.

Avant d'évacuer le camp, les SS dynamitèrent l'ensemble de la structure, probablement dans la nuit du 21 janvier 1945, en plaçant les charges explosives à l'intérieur même du four.

Système d'épuration des eaux

Portant le nom de Kläranlage, trois installations - plus ou moins proches de celle-là - étaient présentes à Birkenau. Elles avaient pour objectif de traiter les eaux usées, acheminées par les nombreux fossés du camp.

Le Zentral Sauna

Le Zentral Sauna était un bâtiment de désinfection, ayant plus ou moins le même fonctionnement que les "Saunas" du camp des femmes. Il est le plus gros bâtiment jamais construit à Birkenau. Mis en service en 1943, il était principalement réservé aux hommes, bien que quelques femmes y furent aussi envoyées.

Le lac des cendres

Fosse dans laquelle les cendres humaines provenant des crématoires IV et V étaient déversées.

Kommandantur

Kommandantur du camp d'Auschwitz II Birkenau. A l'arrière, se trouvaient plusieurs baraques SS ainsi qu'un hôpital SS. Il n'en reste rien aujourd'hui, à l'exception de l'édifice qui abritait la Kommandantur, dont la municipalité en a fait don à l'Eglise catholique.

Système d'épuration des eaux

Station d'épuration des eaux usées de Birkenau

Portant le nom de Kläranlage, trois installations - plus ou moins proches de celle-là - étaient présentes à Birkenau. Elles avaient pour objectif de traiter les eaux usées, acheminées par les nombreux fossés du camp. Celle-ci, la Kläranlage II, n'a en réalité jamais été mise en service. Les constructions rondes en briques devaient être des cuves, mais elles n'ont jamais été achevées. De fait, les eaux usées déversées dans le fleuve de la Vistule, n'ont pour ainsi dire jamais été véritablement traitées.

Magasin de vêtements

Dans les magasins de vêtement, des détenues travaillaient au classement et à la remise en état de vêtements - préalablement triés au Canada - volés aux déportés après leur arrivée au camp. Ces vêtements étaient ensuite expédiés en Allemagne.

Cuisines

Cuisines du camp des femmes de Birkenau

Magasin de vêtements

Dans les magasins de vêtement, des détenues travaillaient au classement et à la remise en état de vêtements - préalablement triés au Canada - volés aux déportés après leur arrivée au camp. Ces vêtements étaient ensuite expédiés en Allemagne.

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines de Birkenau

Latrines

Magasin de vêtements

Dans les magasins de vêtement, des détenues travaillaient au classement et à la remise en état de vêtements - préalablement triés au Canada - volés aux déportés après leur arrivée au camp. Ces vêtements étaient ensuite expédiés en Allemagne.

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines

Latrines dans le camp Auschwitz II Birkenau

Latrines

Latrines

Cuisines

Latrines

Cuisines

Cuisines

Cuisines

Cuisines

Cuisines

Cuisines

Cuisines

Cuisines

Blockführerstube

Baraque en bois qui abritait les SS qui avaient la responsabilité administrative du camp des femmes. Certaines prisonnières y travaillaient également. Ce Blockführerstube est le dernier visible à Birkenau. D'autres étaient installés entre les secteurs B2 et B3, à l'entrée de chaque camps.

La photographie présentée ici est une photographie d'archive, prise par la propagande allemande pendant une sélection. Le Blockführerstube est y présent, juste derrière le groupe de déportés qui se dirige en direction des crématoires. Ce bâtiment est encore présent de nos jours.

Blockführerstube

Baraques en bois, positionnées à l'entrée de chaque camps, qui abritaient les SS qui en avaient la responsabilité. Du côté du camp des femmes, le blockführerstube était positionné entre les camps B1b et B1a, le long de la rampe de Birkenau.

Bunker I

Aussi appelé "Maison rouge", le Bunker I était une ancienne ferme - aux murs rouges -, que les SS avaient transformé et équipé de deux chambres à gaz. A l'entrée, les déportés condamnés à l'extermination pouvaient lire "Zur desinfektion". Le Bunker I fut mis en service au cours du printemps 1942. Les gazages y avaient lieu le soir pour que l'édifice puisse être aéré la nuit. Transportés dans des wagonnets, poussés par des membres du Sonderkommando, les corps des victimes étaient ensuite ensevelis ou brûlés, à quelques centaines de mètres à l'ouest du bâtiment.

Système d'épuration des eaux

Portant le nom de Kläranlage, trois installations - plus ou moins proches de celle-là - étaient présentes à Birkenau. Elles avaient pour objectif de traiter les eaux usées, acheminées par les nombreux fossés du camp.

Clôture de barbelés et miradors

Le camp de Birkenau compte 17 kilomètres de clôture de barbelés, s'élevant à trois mètres de hauteur. Equipé d'éclairages électriques, les barbelés étaient électrifiés par un courant d'interphase de 400 volts. Il faut également ajouté une trentaine de miradors, dont le mirador principal situé au-dessus de l'entrée, depuis lesquels les SS surveillaient le camp.

Bûchers

En 1944, la capacité du four du crématoire V était dépassée par l'extermination des Juifs de Hongrie. Ces fosses d'incinération furent alors creusées en complément de celui-ci.

Zone annexe

Zone située à l'extérieur du camp, derrière le Canada et le Zentral Saune. Elle comprenait le Bunker II ainsi que des bûchers et des fosses communes.

Bunker II

Aussi appelé "Maison blanche", le Bunker II était une ferme - aux murs blancs - que les SS avaient transformé en lieu d'extermination au cours du mois de juin 1942. A l'intérieur, quatre chambres à gaz de 105 m² y figuraient.

Un système de chemin de fer permettait aux membres du Sonderkommando de transporter les corps des victimes jusqu'aux bûchers, eux-mêmes situés près du lieu d'assassinat. A proximité également, deux baraques en bois avaient été dressées dans lesquelles les futures victimes devaient se déshabiller, avant d'entrer dans les chambres à gaz.

Les gazages du Bunker II s'étaient interrompus après la mise en service des crématoires II et III de Birkenau, au printemps 1943. Ils avaient cependant repris au début de l'été 1944 pour l'extermination des Juifs de Hongrie. Au cours de cette seconde période d'activité, certains enfants auraient été jetés vivants dans les brasiers.

Bûchers

Fosses communes

Fosses communes

Fosses communes

Bûchers

Fosses communes

A l'automne 1941, les prisonniers de guerre soviétiques étaient chargés de la construction de Birkenau, avant d'y être transférés depuis le camp d'Auschwitz I, au printemps suivant.

Sur les 15 000 prisonniers de guerre soviétiques internés à Auschwitz, près de 14 000 y sont mort de privation et d'épuisement, particulièrement lors de la construction de Birkenau. Environ 9 200 de ces derniers ont été incinérés dans le crématoire I du camp principal, puis les cendres ont été transférées et enterrées dans les fosses communes de Birkenau, derrière le Bunker I.

Bûchers

Entrepôts de pommes de terre

Entrepôts de pommes de terre à proximité de la Judenramp

Petites constructions en briques qui permettaient le stockage de pommes de terre. Cependant, les conditions de conservation faisaient souvent pourrir les stocks. Ils étaient tout de même utilisés pour confectionner les "soupes" des détenus.

La photographie présentée ici montre les vestiges des entrepôts de pommes de terre - similaires - mais qui sont situés à proximité de la Judenrampe.