Dans un premier temps, ils se révèlent être un outil indispensable à l'anéantissement de l'opposition politique au Parti nazi. Dans la seconde moitié des années 1930, ils servent à l'internement des personnes jugées "indésirables" : "criminels d'habitude", Juifs, Tziganes, chômeurs, mendiants...
D'un simple "fait divers" à un véritable scandale d'État, l'affaire Stavisky n'a pas seulement fait couler beaucoup d'encre, elle a fait vaciller la République.
Remportées par les nazis, après une campagne marquée par la violence, Hitler ne peut cependant obtenir la majorité absolue que grâce à la coalition gouvernementale, formée avec les conservateurs. Au final, 56% des Allemands n'ont pas choisi le national-socialisme.
Dès lors qu'il est arrivé au pouvoir et afin d'instaurer un régime totalitaire, Hitler s'efforce à anéantir l'ensemble des partis politiques allemands, puis finalement de les interdire par une nouvelle loi.
Une opération organisée par les nazis pour punir les Juifs d'Allemagne, supposés responsables des critiques émises depuis l'étranger.
Un processus qui consiste à démettre tous les supposés ou potentiels ennemis du mouvement nazis de leur poste d’influence.
